Sortie en 2010, soit 5 ans après sa première annonce, Alan Wake est un "thriller psychologique" très largement inspiré de l'ambiance et des romans de Stephen King. Voyons voir ce qu'il a à nous présenter.

Le célèbre écrivain Alan Wake est victime du syndrome de la page blanche depuis 2 ans. Sa femme, désespérée que son mari n'arrive plus à écrire, l'emmène en vacances dans la région calme de Bright Falls, dans l'espoir qui retrouve son inspiration. Seulement, Alan se sent vexé et décide d'aller se calmer dehors en pleine nuit. Mais les cris de sa femme et la coupure d'électricité de leur chalet pousse Alan a aller rassurer sa femme, qui souffre d'achluophobie, la peur du noir. Quand il revient au chalet, sa femme s'est fait emportée dans le lac. Alan plonge pour la sauver mais se réveille dans sa voiture accidentée et il ne tarde pas à découvrir que les habitants de la région de Bright Falls commencent à se faire posséder par une entité maléfique : l'Ombre Noire, qui semble également tenir en otage sa femme. Alan doit alors donner un manuscrit d'une histoire qui ne se souvient pas avoir écrit et qui semble prend vie juste devant ces yeux...
Et oui, le "thriller psychologique" écrit sur la jaquette est justifié en regardant le résumé de l'histoire. De plus celle-ci apporte un argument pour la jouabilité et les graphismes. En effet, les phases d'action avec les possédés se déroulant la nuit, les effets de lumière sont très nombreux et vraiment somptueux. Le jeu en lui-même est également beau et retranscris la beauté des paysages de Bright Falls le jour et la transformation soudaine de cette région calme en un véritable cauchemar la nuit.
Le jeu est présenté à la manière d'un TPS (Jeu de tir à la 3ème personne) mais mélange plusieurs genre, de l'action-aventure au survival-horror en passant par l'histoire interactive. Le côté survival-horror est d'ailleurs mis en avant lors des phases de nuit grâce à un système bien trouvé pour combattre les Possédés. Étant sous l'emprise d'une ombre, la seule chose qui les rend vulnérables est la lumière. Donc il faut d'abord les bombarder de lumière grâce à notre lampe torche puis leur mettre des balles dans le buffet avec 2 armes différentes : le revolver (dans le slot 1) ou alors la carabine, le fusil à pompe ou même le fusil (dans le slot 2). Certaines armes éblouissent et blessent les ennemis en même temps comme le lance-fusée ou les grenades flash. Il y a également le feu à main qui permet d'éblouir les ennemis et d'avoir une zone de sécurité temporaire.
La bande-son est assez discrète mais s'amplifie lorsque qu'un ennemi approche. Les bruits d'ambiance sont souvent mis à contribution pour faire monter l'adrénaline du joueur alors que le décor devient flou lors des phases de nuit. Le doublage français est de bonne qualité mais on remarquera que certains dialogues sont mal synchronisés avec la bouche des personnages.
Le jeu a une durée de vie correcte pour un jeu de 2010. Comptez environ 9 heures de jeu en difficulté Normal avec quelques complications dans les passages où vous vous faites encercler par les ennemis et où il faut trouver un moyen d'aller dans la lumière sans se prendre des coups de hache et de marteau à tout va.
En conclusion, Alan Wake est autant un très bon jeu qu'un bon thriller car même la fin reste floue et on ne sait pas si tout ceci est dû à la folie ou si c'était la réalité. L'atmosphère à la Stephen King est omniprésente dans le jeu sous les traits de l'Ombre Noir qui n'a aucune origine précise, qui prend possession des habitants de Bright Falls et qui collabore avec le héros contre sa femme. Le jeu est très maniable même si Alan est loin d'être une Lara Croft qui peut courir pendant 10 ans mais cela créé un sentiment de faiblesse donc on s'attache plus avec le personnage et on souffre avec lui (un peu comme dans le reboot de Tomb Raider d'ailleurs...).
NOTE : 17/20
Alan Wake
Date de sortie : 14 mai 2010 (Xbox 360), 16 février 2012 (PC)
Support : Xbox 360 et PC

Le célèbre écrivain Alan Wake est victime du syndrome de la page blanche depuis 2 ans. Sa femme, désespérée que son mari n'arrive plus à écrire, l'emmène en vacances dans la région calme de Bright Falls, dans l'espoir qui retrouve son inspiration. Seulement, Alan se sent vexé et décide d'aller se calmer dehors en pleine nuit. Mais les cris de sa femme et la coupure d'électricité de leur chalet pousse Alan a aller rassurer sa femme, qui souffre d'achluophobie, la peur du noir. Quand il revient au chalet, sa femme s'est fait emportée dans le lac. Alan plonge pour la sauver mais se réveille dans sa voiture accidentée et il ne tarde pas à découvrir que les habitants de la région de Bright Falls commencent à se faire posséder par une entité maléfique : l'Ombre Noire, qui semble également tenir en otage sa femme. Alan doit alors donner un manuscrit d'une histoire qui ne se souvient pas avoir écrit et qui semble prend vie juste devant ces yeux...
Et oui, le "thriller psychologique" écrit sur la jaquette est justifié en regardant le résumé de l'histoire. De plus celle-ci apporte un argument pour la jouabilité et les graphismes. En effet, les phases d'action avec les possédés se déroulant la nuit, les effets de lumière sont très nombreux et vraiment somptueux. Le jeu en lui-même est également beau et retranscris la beauté des paysages de Bright Falls le jour et la transformation soudaine de cette région calme en un véritable cauchemar la nuit.
Le jeu est présenté à la manière d'un TPS (Jeu de tir à la 3ème personne) mais mélange plusieurs genre, de l'action-aventure au survival-horror en passant par l'histoire interactive. Le côté survival-horror est d'ailleurs mis en avant lors des phases de nuit grâce à un système bien trouvé pour combattre les Possédés. Étant sous l'emprise d'une ombre, la seule chose qui les rend vulnérables est la lumière. Donc il faut d'abord les bombarder de lumière grâce à notre lampe torche puis leur mettre des balles dans le buffet avec 2 armes différentes : le revolver (dans le slot 1) ou alors la carabine, le fusil à pompe ou même le fusil (dans le slot 2). Certaines armes éblouissent et blessent les ennemis en même temps comme le lance-fusée ou les grenades flash. Il y a également le feu à main qui permet d'éblouir les ennemis et d'avoir une zone de sécurité temporaire.
La bande-son est assez discrète mais s'amplifie lorsque qu'un ennemi approche. Les bruits d'ambiance sont souvent mis à contribution pour faire monter l'adrénaline du joueur alors que le décor devient flou lors des phases de nuit. Le doublage français est de bonne qualité mais on remarquera que certains dialogues sont mal synchronisés avec la bouche des personnages.
Le jeu a une durée de vie correcte pour un jeu de 2010. Comptez environ 9 heures de jeu en difficulté Normal avec quelques complications dans les passages où vous vous faites encercler par les ennemis et où il faut trouver un moyen d'aller dans la lumière sans se prendre des coups de hache et de marteau à tout va.
En conclusion, Alan Wake est autant un très bon jeu qu'un bon thriller car même la fin reste floue et on ne sait pas si tout ceci est dû à la folie ou si c'était la réalité. L'atmosphère à la Stephen King est omniprésente dans le jeu sous les traits de l'Ombre Noir qui n'a aucune origine précise, qui prend possession des habitants de Bright Falls et qui collabore avec le héros contre sa femme. Le jeu est très maniable même si Alan est loin d'être une Lara Croft qui peut courir pendant 10 ans mais cela créé un sentiment de faiblesse donc on s'attache plus avec le personnage et on souffre avec lui (un peu comme dans le reboot de Tomb Raider d'ailleurs...).
NOTE : 17/20
Alan Wake
Date de sortie : 14 mai 2010 (Xbox 360), 16 février 2012 (PC)
Support : Xbox 360 et PC

Code ami 3DS : 4167-4959-3296