Yosh !
Allez, c'est parti pour mon bilan 2022
Une année ma foi fort riche avec, à l'heure où j'écris ces lignes, 69 jeux terminés, encore 3 en cours et 14 jeux commencés mais abandonnés en cours de route car ils ne me plaisaient pas. Comme d'habitude, pas forcément que des jeux sortis cette année de fait et beaucoup de rattrapage de backlog.
Histoire de faire un petit récapitulatif :
Jeux terminés 2022 :Jeux abandonnés 2022 :Jeux en cours :Maintenant, pour en venir au bilan en lui même ! Vu que l'idée de nutriscore de Master est très bonne et que j'ai la flemme de chercher autre chose, je lui repique sans vergogne
Mes moments les plus marquants de 2022 :-
Elden Ring : Un grand, grand moment de jeu vidéo comme je n'en avais plus vécu depuis... eh bien le dernier From Software que j'ai fini, à savoir Dark Souls 3 (oui, j'ai toujours Sekiro en retard...) . Si je rejoins Master sur le côté titanesque et parfois trop pour son propre bien, je ne peux m'empêcher de voir dans ce Dark Souls 4 qui ne dit pas son nom la consécration d'une formule que Myazaki et ses équipes peaufine depuis maintenant plus de 10 ans, malheureusement au prix de conditions de développement harassantes. Bien que je sois d'ordinaire assez hermétique aux chiffres de ventes des jeux, je suis réellement content pour les équipes de From Software que leur jeu ait eu un tel succès, que je vois comme la consécration de leur travail sur ce jeu, mais aussi sur tous les précédents. Elles le méritent.
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Ma découverte de la série Yakuza : Shenmue premier du nom est une de mes meilleures expériences de jeu ever. Voilà, c'est dit (kiss mon Kiko). Dès lors, quand j'ai commencé à m'intéresser à la série Yakuza il y a des années, l'un des arguments principaux qui m'avait motivé à l'époque était que la série du Ryu Ga Gotoku Studio en était une descendante spirituelle. Si cette affirmation peut tout à fait se discuter tant les jeux présentent de différences, j'ai néanmoins ressenti dans ce premier épisode de Yakuza cette même vibe qui m'avait tant marqué dans Shenmue. Ce n'est pas une histoire de mécaniques de gameplay ou de game design pure et dure, plutôt une affaire d'ambiance, de feeling. Déambuler dans ce quartier fictif japonais, regarder les passants, voir la vie dans les rues, aussi artificielle soit-elle, le tout enrobé dans cette ambiance typiquement nipponne et avec ce je-ne-sais-quoi propre à Sega a réveillé de très bons souvenirs.
Au delà de ça, Yakuza Zero a aussi (et surtout) été un excellent jeu, généreux, débordant de bonne volonté et traduisant derrière cela, à mon sens, une réelle passion des équipes de développement et une envie profonde de la partager, finissant de rendre cette œuvre particulièrement attachante.
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Ma découverte de la série Halo : Lancée sur un coup de tête, sans rien en attendre, à un moment où je cherchais surtout à jouer à du jeu d'action/FPS court et surtout pas prise de tête, c'est peu dire que la série créée par Bungie m'a pris par surprise. Là où je pensais trouver un « Call of sans le nom de Call of », j'ai finalement trouvé une licence à l'univers étonnamment riche, avec des scénarios cool et un gameplay franchement plaisant. J'ai littéralement dévoré tous les épisodes jusqu'au 5 inclus et, si tous ne sont pas aussi bons (je pense là ici surtout au très dispensable épisode ODST), j'ai passé un excellent moment avec cette série qui m'aura accompagnée quasiment tout au long de l'année. Vivement Infinite maintenant !
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Return of the Obra Dinn : une expérience de folie, que nous avons dévorée, mon épouse et moi, en 2 ou 3 soirées. C'était juste trop, trop bien.
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Yuppie Psycho : L'un des meilleurs jeux que j'ai pu faire cette année et l'un des meilleurs survival horror auquel j'ai joué, tout court. L'univers est aussi frais que malsain, le jeu terriblement malin et l'ensemble se paye le luxe d'une DA aussi sobre que soignée. Du caviar !
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Omori et Live-A-Live : Cette année, j'avais une grande envie de me replonger dans la descendance plus ou moins assumée de la série Mother. Live-A-Live ne saute pas tout de suite aux yeux et son côté « descendance » peut prêter à discussion, pourtant, il a bel et bien un lien avec la série de Shigesato Itoi, puisque le directeur de Mother 3 a participé à l'écriture de ce RPG pas comme les autres. Atypique à bien des égards, à commencer par son rythme et son découpage en petits chapitres tous indépendants de quelques heures, c'est surtout pour son écriture (soutenue par une traduction française de premier ordre) et ses thématiques qu'il m'a beaucoup marqué, en particulier sa dernière ligne droite que j'ai trouvée vraiment maline et subtile. Plus qu'une très bonne surprise, une expérience très marquante.
Quant à Omori, c'est bien simple, je crois que je n'ai pas pris une telle claque depuis Silent Hill 2, avec qui il partage nombre de points communs. J'avais entendu parler du jeu, je savais qu'il abordait des thématiques particulièrement difficiles, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il me mette à ce point des tartes aussi violentes. Pfouah... Je ne vais pas m'étendre au sujet du jeu car sa « découverte » est primordiale dans son appréciation. En revanche, je ne saurais trop vous conseiller de prendre au pied de la lettre l'avertissement du jeu lors du démarrage : Au même titre que Silent Hill 2, Omori aborde la dépression, l'anxiété et le suicide de manière très crue et peut être vraiment dur par moment. Ce n'est clairement pas un jeu que je vous conseillerais de faire si vous n'êtes pas bien dans votre peau.
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Devil May Cry 5 : J'ai toujours beaucoup aimé Dante, ce depuis que j'ai pu découvrir le premier DMC lors de sa sortie. Seulement... Je n'ai jamais vraiment joué à la série, m'étant contenté de faire (justement) le premier épisode de la série, sans la poursuivre après. J'avais bien essayé de me lancer dans le 2 dans la foulée, que j'ai très rapidement arrêté parce que c'était vraiment pas terrible. Depuis j'ai toujours regardé la série de loin, en me disant que plus le temps passerait, plus le genre du BTU 3D évoluerait (notamment grâce à Platinum Games), plus j'aurai de mal à m'y lancer. Et puis DMC 5 est sorti et avec lui la promesse de dynamiter complètement la série avec un gameplay qui me parlait beaucoup plus, dans la droite lignée des Bayonetta et autre Metal Gear Rising Revengeance auxquels j'étais biberonné depuis des années. Et quelle baffe mes aïeux ! Pfiou ! De la pure dopamine, de tous les instants. C'est tellement beau, tellement nerveux, tellement racé ! Bordel ça faisait depuis Bayonetta 2 que j'avais pas à ce point kiffé sur un beat. Quel jeu !
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Another World & Flashback : Pour Another World, c'est le plaisir d'avoir découvert un pilier du JV que je retiens, pour Flashback, c'est surtout le fait d'avoir enfin fini le premier jeu auquel j'ai pu jouer de ma vie. Celui par qui tout a commencé en somme. Ca m'a fait bizarre ^^ .
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Ma réconciliation avec la série Rockman Zero : J'aime beaucoup la série Rockman. J'ai fait tous les épisodes « classiques », 4 des 8 épisodes de la série « X », ainsi que Rockman & Forte. Au même titre que Castlevania, c'est une de mes séries favorites en action/plate-forme. C'est donc tout naturellement que j'avais tenté, il y a plusieurs années, de me lancer dans ce spin off GBA qu'est Zero... Pour l'abandonner peu de temps après, notamment dégoûté par son système de sauvegarde ubuesque et complètement fumé et la laisser tomber dans l'oubli. Ceci jusqu'à cette année et que je visionne l'émission de la chaîne « Esquive la Boule de Feu », dédiée à la série et qui a eu le don de raviver ma flamme, en particulier grâce à la sortie de la compilation Switch qui a corrigé le plus GROS problème de la série : son système de sauvegarde.
Ainsi débarrassé des tracas de ce système, j'ai pu ENFIN me remettre à la série et j'ai pu faire cette année le premier épisode et ce fut une grosse, grosse claque. C'est beau, tellement agréable à jouer, la DA défonce, l'univers est top... Un vrai bonheur !
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Akai Katana Climax : Trop content d'avoir pu redécouvrir ce jeu fabuleux et d'avoir pu le 1cc ! Quel pied !
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Neon White : La bonne surprise de fin d'année ! Un jeu terriblement malin et dans la plus pure tradition du flow, que j'inscris sans problème au panthéon du genre aux côtés des monstres que sont Super Meat Boy, the End is Nigh, Thumper et Celeste. De la pure came ! Jouez y !
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Cuphead (et son DLC) : Une énorme claque là encore, qui se hisse là encore dans mon panthéon des meilleurs jeux indés que j'ai pu faire ever. C'était juste trop, trop bien.
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Avoir épongé mon backlog « Valve » : avec Left 4 Dead 1 et 2 et surtout Half Life 2. Pas grand chose à dire, sinon qu'ils méritent amplement leur statut de jeu culte.
Ces moments de 2022 qui ne sont pas parmi les meilleurs, mais qui étaient quand même sacrément chouettes aussi :- Okami : Très content d'avoir enfin pu faire ce titre culte de Clover Studio. Il ne deviendra pas pour moi un des jeux les plus mémorables que j'ai fait, ce notamment du fait de couacs au niveau du rythme et par moment du gameplay, mais ça restera quand même un très bon souvenir
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Avoir épongé mon backlog « Rockstar » : Après un Red Dead Redemption qui m'avait laissé une excellente impression l'an passé, j'ai voulu cette année poursuivre mon exploration de la ludographie « récente » de Rockstar avec RDR 2, GTA IV et GTA 5. De ces 4 titres, GTA IV et le premier Red Dead Redemption resteront mes préférés et ce d'assez loin. Du reste, je suis très content d'avoir pu faire ces piliers du JV, pas tant pour la supposée « profondeur » de leur ton et encore moins pour la richesse de leur gameplay, mais avant tout pour ce qu'ils représentent pour l'univers du JV. C'était très cool.
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Andro Dunos 2 : La parfaite illustration de comment réinventer intelligemment un jeu pour lui fournir une suite qui surpasse le premier épisode sans forcer tout en s'ancrant dans un JV bien plus moderne. Un jeu malin, très bien foutu et qui a su transcender son héritage. Une très belle surprise, qui n'est pas sans rappeler la démarche qui a pu être observée pour un certain Streets of Rage 4.
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Crimzon Clover World EXPlozion : Une excellente surprise, notamment grâce à son mode Arrange, complètement fou et que j'ai pris grand plaisir à 1cc.
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Eternal Darkness Sanity's Requiem : Au même titre que Flashback, ED est un de ces jeux qui ont accompagné une grande partie de ma vie de joueur sans avoir jamais eu l'occasion de les finir. S'il n'a pas comblé toutes mes attentes et qu'il s'est finalement révélé être plus un jeu action/aventure avec des éléments horrifiques qu'un véritable Survival Horror, je garderai néanmoins de ce jeu un excellent souvenir
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Solar Ash : Après un Hyper Light Drifter qui figure parmi mes meilleures expériences de 2021 et ever, j'attendais énormément du dernier titre de Heart Machine. Peut être un peu trop. Si je ne peux pas dire que j'ai été déçu du jeu avec un grand « D », je ne peux pas non plus dire qu'il ait provoqué en moi le même émoi. J'ai fini le jeu à la fois satisfait (parce que la fin est complètement ouf) et avec un drôle de sentiment doux-amer, pas forcément plaisant. Tant pis, on ne peut pas te retourner le cerveau à chaque fois
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Après, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : Solar Ash reste un excellent jeu qui mérite toute votre attention
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Kentucky Route Zero : Une expérience singulière qui m'a beaucoup plu, ce malgré quelques longueurs. L'ayant fini récemment, je ne m'étendrai pas plus dessus. Il faut que je prenne le temps de le digérer. Et puis, au même titre qu'Omori, c'est un jeu qui gagne à être découvert sans avoir été spoilé avant.
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Super Mario RPG - Legend of the 7 Stars : Un RPG malin, plein de bonnes idées et super bien maîtrisé
(oui, j'ai la flemme de faire un pavé dessus, jouez y, ça suffit comme argument).
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Ender Lilies Quietus of the Knight : un jeu qui m'a avant tout intrigué par sa DA très soignée et qui s'est révélé être un Metroidvania très sympathique
. Ca n'atteint pas la perfection d'un Hollow Knight, mais ça reste néanmoins un jeu super plaisant.
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The Silver Case : un très mauvais jeu, mais une très bonne histoire qui préfigure très bien les œuvres de Suda51 qui suivront. A défaut de le faire, c'est un jeu qui vaut la peine d'être vu en longplay.
Parce que la flemme de faire encore des pavés, mentions honorables à ces quelques titres dont je pense aussi le plus grand bien ^^
- Eastward
- Turrican 1, 2, 3
- What the Golf ?!
- Demon of Asteborg
- HadesCes relatives déceptions et jeux « meh... dommage ! » de 2022 (aka les jeux qui ratent le coche de peu) :- TMNT - Shredder's Revenge : Une semi déception pour ce titre plein de bnne voolonté, pétri de bonnes idées mais qui se plante sur le rythme avec un jeu bien, biiiiieeeeeen trop long pour son propre bien et qui fiit par rapidement lasser. Dommage ! Je suivrai néanmoins les futurs titres du studio.
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Infernax : Pour le coup l'opposé de TMNT Shredder's Revenge concernant la question du rythme avec un jeu qui s'arrête au moment où il commençait à devenir intéressant et qui m'a, de fait, laissé sur ma faim. Dommage car à côté de ça le jeu a plein de bonnes idées et une ambiance vraiment excellente. Tout comme pour le studio de TMNT, je vais suivre les futurs projets de Berzerk Studio.
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Metal Hellsinger : Même problème qu'Infernax, même si cela concerne plus les mécaniques de gameplay. On sent que le titre avait un potentiel assez ouf mais que les devs se sont montrés un peu trop timides. Comme les précédents, a voir ce que donnera la suite que la fin du jeu annonce explicitement.
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Ratchet & Clank – Rift Apart : Je crois qu'il va falloir que je me fasse à l'idée : depuis Ratchet & Clank 2, Insomniac Games a, je trouve, perdu le Mojo et n'arrive plus à réitérer la performance des deux premiers. Beau mais creux, avec une maniabilité aux petits oignons mais pour un level design convenu, avec des armes à nouveau sympa mais des compositions d'ennemis pas super passionnantes, ce dernier épisode de la série a tout maintenant de la production « bien mais sans plus »... Quel dommage...
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Ghost of Tsushima : J'ai fini la première île et quand j'ai vu la carte de la seconde se révéler j'ai fait « pfff... non... ». Marre de la recette ubichiotte pour les open world... Marre d'avoir l'impression de cocher une liste de course géante plutôt que de jouer... Marre de tous ces sous systèmes de progression RPG à la con qui n'apportent rien sinon de me faire perdre mon temps dans des menus nazes... Marre de ces rythmes de merde... Alors que je me suis enquillé sans broncher 3 monde ouverts de Rockstar, j'ai lâché le jeu de Sucker Punch après un peu plus de 10h... c'est bien que cette recette a un problème... C'est dommage car à côté de ça le jeu a plein de bonnes idées et de bonnes intentions que j'aurais bien voulu pousser... Mais pas eu la foi de passer des dizaines d'heures à me dépasser de quintaux de gras sans saveur pour arriver au cœur intéressant du jeu.
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Super Mario Galaxy 2 (et par extension Mario Galaxy 1, que j'avais fini) : Un peu les mêmes griefs que Rift Apart. Je pense que Nintendo, à force de vouloir toujours faire le grand écart entre joueurs occasionnels et vétérans de leurs licences, n'arrivera plus à capter à nouveau tout ce qui faisait la richesse de Mario 64. Assez insipide, sans jamais proposer de challenge réellement stimulant, MG2 en devient frustrant et je n'avais qu'une envie : secouer le jeu en lui hurlant dessus « ptain mais c'est quand que tu me fais jouer bon sang ! »
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Pony Island et the Hex : Je connaissais Daniel Mullins de réputation et la sortie de son dernier jeu Inscryption m'avait pas mal intrigué. L'annonce de son portage sur consoles de salon m'a finalement décidé à faire les autres jeux du monsieur avant de me lancer dans son dernier titre en date. C'était assez … meh... Enfin, disons, pour être précis, que ces jeux n'ont pas été à la hauteur de leur réputation... probablement aussi parce que je la connaissais, leur réputation, mais aussi (et surtout) parce que ce n'était pas les premiers jeux de ce genre que je faisais. Ce qui a fatalement bien amoindri leur impact et leur effet de surprise, puisque je m'attendais déjà plus ou moins à ce qu'il allait me faire vivre. Tout n'est pas à jeter et ça reste des jeux intéressants à faire, avec quelques twists bien sentis, m'enfin pas de quoi se relever la nuit non plus. J'ai commencé Inscryption, déjà plus prometteur (et avec une proposition ludique aussi plus intéressante, on va pas se mentir).
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Super Meat Boy Forever : Juste pas du tout accroché à la transition du jeu vers le runner. L'absence d'Edmund McMillen se fait également sentir avec une ambiance bien moins sombre, sale et caustique. Dommage. Je resterai sur Super Meat Boy.
- the Medium : un jeu à la DA aussi belle que son gameplay est creux... j'ai beau adoré les peintures de Beksinski de tout mon être, elles ne peuvent pas rattraper un jeu qui, sans ça, est tout juste moyen. J'oserai même dire que le jeu ne nous permet pas de profiter à loisir de sa sublime DA puisqu'il garde pour ainsi dire toujours le contrôle de sa caméra, empêchant de fait le joueur de regarder l'image plus à sa convenance pour simplement admirer le travail des artistes. C'en est parfois rageant. L'histoire globale est assez médiocre, même s'il faut remarquer que certaines "petites histoires dans l'Histoire" sont intéressantes et plutôt bien amenées. Pas totalement convaincu pour autant. Dommage...
Les échecs retentissants et autres jeux de merde de 2022 :- Catherine – Full Body : Une de mes plus grosses déceptions de l'année et probablement ever. Je ne reviendrai pas en détail sur le pourquoi du comment et me contenterai de dire que Catherine est pour moi l'une des plus grosses occasions manquées du medium en terme de scénario et de thématiques. Alors qu'il avait un pitch super accrocheur et une thématique géniale, entre les mains d'un des studios les plus réputés en terme d'écriture, Catherine se vautre lamentablement avec un final complètement hors de propos et qui désamorce toute la tension qu'il avait pu mettre en place auparavant. Et ce n'est pas le scénario supplémentaire de cette version « Full Body » qui viendra y changer quoi que ce soit, hélas. Quel gâchis...
- Pokemon Epée / Bouclier : Joué à peine quelques heures et il a réussi à m'insupporter au plus haut point, jusqu'au rejet viscéral. Je n'en peux plus que la licence me prenne à ce point pour un débile et me tienne autant par la main, je veux juste qu'on me foute la paix et qu'on me laisse jouer...
- the Callisto Protocol : Nul, nul, nul ! Idem, joué que quelques heures, jusqu'à arriver au point de rejet viscéral (games). Mais plus que le jeu en lui même qui n'est finalement que le produit de son époque, ou que ses bugs grossiers dont je ne doute pas qu'ils seront progressivement corrigés par des patchs sortis par une équipe de dev rincée par le crunch et qui n'a pas pu les corriger avant sortie, c'est avec la recette du AAA « à l'occidentale » que j'ai le plus gros problème. Je n'en peux plus de ces jeux qui me prenne pour un débile, qui me rabâche des conneries et qui quand il s'agit d'être lisible se plante, qui ne tentent rien, qui cachent leurs temps de chargement derrière un énième conduit d'aération de merde ou un passage étroit dans lequel le personnage se glisse leeeeeeentement, qui sont écrits avec le cul, qui te balancent leurs scripts éculés et qui se permettent, par dessus le marché de venir te proposer un season pass à la con pour avoir des animations de morts supplémentaires ! Bande de baltringues de décisionnaires ptain ! Schofield devrait avoir honte de plagier ainsi l'un de ses propres jeux. Ptain je l'ai encore en travers de la gorge celle là...
- Resident Evil VIII : Nul à chier. J'ai arrêté aux 2/3 du château tellement j'en pouvais plus de la bêtise du jeu et surtout d'Ethan, probablement le héros de JV le plus con qui soit.
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Kirby & le monde oublié : je n'en attendais pas grand chose, sinon un jeu pour déconnecter le cerveau à faire en pilote automatique, comme Epic Yarn en son temps. Mais, tout comme Pokemon, j'ai vite déchanté avec encore une fois un jeu qui me prend ouvertement pour un imbécile... En espérant que Nintendo, un jour, finisse par se sortir les doigts du cul et arrête de flinguer une à une ses licences de la sorte !
Les jeux que j'attends pour 2023 :Pas beaucoup, en réalité. Je vais surtout continuer d'éponger mon backlog qui s'est considérablement raccourci cette année, ce dont je suis très, mais alors très content
- the Legend of Zelda - Tears of the Kingdom
- Resident Evil 4 Remake
- Dead Space Remake
- Metroid Prime 4 (?)
- Hollow Knight 2 Silksong (?)
Et que je vais suivre du coin de l'oeil :
- Lies of P
- Atomic Heart