Chucky a écrit:MrToinou a écrit:ps: Chucky ton avatar me donne des frissons a chaque fois
Tu veux qu'j'te prète un p'tit gilet ?
Tadoum pschiiiit (j'aime)
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Tadoum pschiiiit (j'aime)
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Une Nuit en Enfer m'avait réellement surpris. Je suis tombé dessus par hasard, j'ai regardé.
Un début bien glauque, type Road-Movie très noir et cru, suivi d'une scène plus sympa mais dans une ambiance toujours un peu glauque, avant de sombrer dans le WTF le plus total... C'est vraiment du deux films en un. Et si le tout reste sympa, j'aurais préféré que tout cela reste dans la veine des premières scènes.
Un drôle de surprise en somme.
Un début bien glauque, type Road-Movie très noir et cru, suivi d'une scène plus sympa mais dans une ambiance toujours un peu glauque, avant de sombrer dans le WTF le plus total... C'est vraiment du deux films en un. Et si le tout reste sympa, j'aurais préféré que tout cela reste dans la veine des premières scènes.
Un drôle de surprise en somme.
"Votre Omega-Force est une Omega-Farce!"
Yosh!
on s'est regardé avec des amis un film totalement WTF ce week end : le silence des jambons.
ce fut absolument énorme
on s'est regardé avec des amis un film totalement WTF ce week end : le silence des jambons.
ce fut absolument énorme
Yosh!
on s'est fait une toile hier soir avec ma chérie et on a été voir Equalizers.
plutôt marrant en fait. le genre de film complètement grand guignolesque aux situations complètement improbables avec un méchant psychopathe au possible et un héros qui l'est encore plus. à côté de ça, l'histoire, sans atteindre non plus des sommets d'intelligence, évite d'aligner les incohérences comme on enfile des perles. par contre je ne comprendrais jamais l'intérêt qu'on les méchants de se séparer en équipe de 1 pour chercher le héros qui se planque.
un bon divertissement ma foi
on s'est fait une toile hier soir avec ma chérie et on a été voir Equalizers.
plutôt marrant en fait. le genre de film complètement grand guignolesque aux situations complètement improbables avec un méchant psychopathe au possible et un héros qui l'est encore plus. à côté de ça, l'histoire, sans atteindre non plus des sommets d'intelligence, évite d'aligner les incohérences comme on enfile des perles. par contre je ne comprendrais jamais l'intérêt qu'on les méchants de se séparer en équipe de 1 pour chercher le héros qui se planque.
un bon divertissement ma foi
Skate a écrit:Yosh!
on s'est fait une toile hier soir avec ma chérie et on a été voir Equalizers.
plutôt marrant en fait. le genre de film complètement grand guignolesque aux situations complètement improbables avec un méchant psychopathe au possible et un héros qui l'est encore plus. à côté de ça, l'histoire, sans atteindre non plus des sommets d'intelligence, évite d'aligner les incohérences comme on enfile des perles. par contre je ne comprendrais jamais l'intérêt qu'on les méchants de se séparer en équipe de 1 pour chercher le héros qui se planque.
un bon divertissement ma foi
ah sa va il est pas mauvais, Mon père adore ce genre de film donc il va le voir aussi
Ce soir "la prophetie des ombres" sur nrj12, je conseille je le trouve sympa. thriller/paranormal, bonne ambiance mysterieuse, bonne musique
Selon les statistiques, il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S'il y a 4 personnes autour de toi et qu'elles te semblent normales, c'est pas bon.
tain j'ai vu Godzilla version 2014 ... je sais pas quoi dire, certains plans vraiment beautiful, certains moments complètement affligeants :/ le scénar a le mérite d'être original mais du coup je reste sur ma faim car ça correspond pas à ce que j'attendais d'un Godzilla et puis je suis dégouté
par contre là ou j'applaudi c'est que la bande annonce ne laissait pas du tout apparaître la trame du scénario et ça c'est cool, allant même jusqu’à créer des plans qui ne sont pas dans le film pour induire en erreur le futur spectateur
par contre là ou j'applaudi c'est que la bande annonce ne laissait pas du tout apparaître la trame du scénario et ça c'est cool, allant même jusqu’à créer des plans qui ne sont pas dans le film pour induire en erreur le futur spectateur
Héhé moi aussi j'ai bien kiffé ce Godzilla quand je suis allé le voir 
Et en effet, la BA te fait croire à pas mal de choses et tu es d'autant plus surpris quand tu visionnes le film, truc que j'ai moi aussi beaucoup apprécié.
Et en effet, la BA te fait croire à pas mal de choses et tu es d'autant plus surpris quand tu visionnes le film, truc que j'ai moi aussi beaucoup apprécié.
Bizarre, vous avez dit bizarre? Comme c'est bizarre...
Lloz07 a écrit:Héhé moi aussi j'ai bien kiffé ce Godzilla quand je suis allé le voir
Et en effet, la BA te fait croire à pas mal de choses et tu es d'autant plus surpris quand tu visionnes le film, truc que j'ai moi aussi beaucoup apprécié.
Héhéhé...
"Vous n'êtes pas votre console, vous n'êtes pas votre cartouche, vous n'êtes pas votre Call of ou votre Dark Souls, ni votre putain de blister, vous êtes la merde consommable de ce monde prête à servir à tout."
Guryushika a écrit:Héhéhé...
Ça y est, on utilise une fois la balise spoiler, et ça part en cacahuète! Incorrigibles!
Bizarre, vous avez dit bizarre? Comme c'est bizarre...
J'ai enfin rattrapé une grosse lacune en me faisant la trilogie du Parrain (Mario Puzo's The Godfather) en à peine 24 heures. Je m'étais effectivement trouvé le coffret intégrale DVD en brocante il y a quelques semaines de cela et c'était l'occasion de visionner enfin cette saga dont je n'avais vraiment visionné que le premier épisode, et pas dans les meilleures conditions.
Je trouve que le tout premier volet est génial, et je comprends complètement pourquoi il est souvent cité parmi les meilleurs films de tous les temps. Sans être un réel film de gangsters, on a là une véritable fresque dramatique dédiée à une frange passionnante de l'histoire des États-Unis, à savoir le crime organisé sicilien et ses guerres d'influence interne. Coppola nous offre ici une vision assez "romantique" de la chose, là où un Scorsese se serait montré bien plus brut. Marlon Brando est exceptionnel en Don Vito Corleone, et montre une fois de plus combien certains acteurs se révèlent au sommet de leur art aux alentours de la cinquantaine. Le jeune Michael Corleone incarné par Al Pacino est également un des personnages de fiction les mieux interprétés que j'aie pu voir, mais en fait, chaque personnage de l'histoire est fascinant. Cet immense portrait de famille est prodigieux et bouleversant, et je n'ai pas grand-chose à redire dessus. À noter un détail que j'aime beaucoup, à savoir l'absence totale d'utilisation de termes comme "mafia" ou "cosa nostra" de tout le script. J'ai souvent encensé ces œuvres de fiction qui ne prennent pas leur consommateur pour un con en suggérant les choses davantage qu'en les montrant / disant trop explicitement, et c'est une des forces narratives majeures du film.
À l'inverse, j'ai été étrangement moins captivé par The Godfather, Part II, que j'ai trouvé très, très long (une demi-heure de plus que son prédécesseur qui durait déjà 2 h 45), au rythme un peu bizarre, et j'ai eu du mal avec l'insertion de flashbacks permanents narrant la vie du jeune Vito Corleone. Pas que cela ne s'imposait pas, mais j'ai trouvé le processus narratif étrange: à mes yeux, on ne restait jamais vraiment dans l'histoire "contemporaine" de Michael Corleone qui se trouvait du tout racontée de façon un peu saccadée, et dont on perdait un peu le fil tant les ramifications familiales de la saga sont complexes. Du coup, et je doute que ce fusse l'objectif initial de Coppola, ce sont les scènes "opposant" Michael à sa femme (incarnée par Diane Keaton) qui m'ont le plus marqué. J'ai eu également un peu de mal avec la répétition un peu grossière de certains éléments du schéma narratif, vraiment trop calquées sur le premier épisode... défaut que la troisième partie reproduira aussi, mais dans un contexte historique avancé de près de vingt ans, donc avec bien plus de différences sur la majorité des plans. Qu'on ne se trompe toutefois pas: la deuxième partie du Parrain reste un très bon film, mais en-deçà de son illustre prédécesseur pour moi.
Enfin, j'ai été agréablement surpris par The Godfather, Part III. J'avais un souvenir d'un film vu par petits bouts où Andy Garcia m'avait proprement exaspéré, et finalement, je suis totalement rentré dedans, le personnage qu'il incarne m'a bien plus séduit que prévu, et j'ai particulièrement été convaincu par l'ambiance de rédemption globale entourant le "vieux" Michael et sa famille. Il y a beaucoup de leçons et d'enseignements à tirer de cet épisode de clôture, certes un peu trop religieux à mon goût, mais remarquablement bien écrits et mis en scène une fois de plus. J'ai eu un gros coup de cœur pour le personnage de la fille de Michael, jouée par Sofia Coppola, fille du réalisateur. Non seulement je la trouve super jolie, mais en plus j'ai été vraiment marqué par le personnage qu'elle interprète et
Bref, une très belle saga, pas facile à appréhender, dépeinte sur un ton dramatique de très haute volée, dont les faiblesses sont sur la globalité bien trop rares. Et comme je l'ai dit, j'ai envie que dans une dizaine d'années, le duo Scorsese / di Caprio (qui aurait respectivement autour des 80 et 50 ans) nous fasse un reboot de ce premier épisode.
Je trouve que le tout premier volet est génial, et je comprends complètement pourquoi il est souvent cité parmi les meilleurs films de tous les temps. Sans être un réel film de gangsters, on a là une véritable fresque dramatique dédiée à une frange passionnante de l'histoire des États-Unis, à savoir le crime organisé sicilien et ses guerres d'influence interne. Coppola nous offre ici une vision assez "romantique" de la chose, là où un Scorsese se serait montré bien plus brut. Marlon Brando est exceptionnel en Don Vito Corleone, et montre une fois de plus combien certains acteurs se révèlent au sommet de leur art aux alentours de la cinquantaine. Le jeune Michael Corleone incarné par Al Pacino est également un des personnages de fiction les mieux interprétés que j'aie pu voir, mais en fait, chaque personnage de l'histoire est fascinant. Cet immense portrait de famille est prodigieux et bouleversant, et je n'ai pas grand-chose à redire dessus. À noter un détail que j'aime beaucoup, à savoir l'absence totale d'utilisation de termes comme "mafia" ou "cosa nostra" de tout le script. J'ai souvent encensé ces œuvres de fiction qui ne prennent pas leur consommateur pour un con en suggérant les choses davantage qu'en les montrant / disant trop explicitement, et c'est une des forces narratives majeures du film.
À l'inverse, j'ai été étrangement moins captivé par The Godfather, Part II, que j'ai trouvé très, très long (une demi-heure de plus que son prédécesseur qui durait déjà 2 h 45), au rythme un peu bizarre, et j'ai eu du mal avec l'insertion de flashbacks permanents narrant la vie du jeune Vito Corleone. Pas que cela ne s'imposait pas, mais j'ai trouvé le processus narratif étrange: à mes yeux, on ne restait jamais vraiment dans l'histoire "contemporaine" de Michael Corleone qui se trouvait du tout racontée de façon un peu saccadée, et dont on perdait un peu le fil tant les ramifications familiales de la saga sont complexes. Du coup, et je doute que ce fusse l'objectif initial de Coppola, ce sont les scènes "opposant" Michael à sa femme (incarnée par Diane Keaton) qui m'ont le plus marqué. J'ai eu également un peu de mal avec la répétition un peu grossière de certains éléments du schéma narratif, vraiment trop calquées sur le premier épisode... défaut que la troisième partie reproduira aussi, mais dans un contexte historique avancé de près de vingt ans, donc avec bien plus de différences sur la majorité des plans. Qu'on ne se trompe toutefois pas: la deuxième partie du Parrain reste un très bon film, mais en-deçà de son illustre prédécesseur pour moi.
Enfin, j'ai été agréablement surpris par The Godfather, Part III. J'avais un souvenir d'un film vu par petits bouts où Andy Garcia m'avait proprement exaspéré, et finalement, je suis totalement rentré dedans, le personnage qu'il incarne m'a bien plus séduit que prévu, et j'ai particulièrement été convaincu par l'ambiance de rédemption globale entourant le "vieux" Michael et sa famille. Il y a beaucoup de leçons et d'enseignements à tirer de cet épisode de clôture, certes un peu trop religieux à mon goût, mais remarquablement bien écrits et mis en scène une fois de plus. J'ai eu un gros coup de cœur pour le personnage de la fille de Michael, jouée par Sofia Coppola, fille du réalisateur. Non seulement je la trouve super jolie, mais en plus j'ai été vraiment marqué par le personnage qu'elle interprète et
Bref, une très belle saga, pas facile à appréhender, dépeinte sur un ton dramatique de très haute volée, dont les faiblesses sont sur la globalité bien trop rares. Et comme je l'ai dit, j'ai envie que dans une dizaine d'années, le duo Scorsese / di Caprio (qui aurait respectivement autour des 80 et 50 ans) nous fasse un reboot de ce premier épisode.
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Faudra que je me décide à faire comme toi un jour, j'avais essayé un jour de mater le premier... j'ai arrêté au bout d'une demi, c'était long et chiant à mon goût :/
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