kementari a écrit:Après plus de 90 heures de jeu, je me suis lassée de Splatoon 2. Je pense que j'y rejouerai de temps en temps, notamment lors des festivals, mais sans plus. Je n'ai même pas eu le courage de terminer le mode solo, que je trouve plat.
Là, je joue un peu à Sonic Mania, c'est fun, mais il joue quand même vachement sur la fibre nostalgique je trouve. Mais je ne boude pas mon plaisir pour le moment, même si j'ai toujours été très nulle aux Sonic sur Megadrive, en mode bourrin jvais vite je contrôle rien 
perso je suis à 50h et j'ai l'impression que je commence seulement à choper des bons moves, mais j'ai fais une petite overdose cette semaine, je vais me calmer un peu et attendre la sortie de Mario X Rabbids. Le solo perso j'ai fait même pas 20% ça m'a saoulé, ça m'intéresse pas.En fait si on pouvait juste rusher les boss qui sont je trouve les trucs les plus intéressant dans ce mode ça serait cool, mais rien que le fait de chercher les bouches pour accéder au niveau ça me gonfle.
Je suis rang S en défense de zone, A+ en bazookarpe ... et c en expédition risqué (non je n'aime pas ce mode). Le problème de splatoon 2 c'est qu'il implique 2 choses qui me saoule :
- un grind abusif de la monnaie (et donc des points en match) pour se faire ses éléments de personnalisations avec les bonus qu'on veut (grind bien moins abusif dans le premier)
- un grind des coquillages en festival pour pouvoir se faire des sets suivant les modes de jeux
Du coup qui dit grinds de la monnaie dit préférer le mode guerre de territoire qui assure environ 800/900 par match en cas de défaite mais un gain d'expérience moindre en cas de victoire et donc une montée en niveau plus lente (et donc déblocage d'arme moins rapide... car je peux vous dire qu'en étant level 24 rang S ... bah la différence d'arsenal se fait sentir) alors que le mode Pro permet un gain d'XP plus rapide ... seulement si tu gagnes et donc que tu es relativement constant dans ton jeu.
Bref, je pense que les plus acharnés vont aimer, mais je pense aussi que les gens comme moi finiront par se lasser.
